来自台湾的青年海生(李乾铭 饰)深受二战时期日本军国主义思想的影响,日韩满腔热忱的加入了日本特别纵队奔赴大陆参战。但是,日韩当他亲眼目睹了日军残杀中国平民的暴行后,他却一心只想逃回家乡。在回乡的路上,海生遇到宁毓(颜丹晨 饰)等四个女孩 。迫于无奈,海生答应送她们去已被占领的南京城。一路上,海生不仅要保护着宁毓四人,还要躲避特别纵队队长山本一郎的追杀,最后,四个女孩中只有有着日本血统的樱子活了下来。当樱子也看清了日本军人的真实面目后,海生决定奋力掩护樱子突出日军的重围……
来自台湾的青年海生(李乾铭 饰)深受二战时期日本军国主义思想的影响,日韩满腔热忱的加入了日本特别纵队奔赴大陆参战。但是,日韩当他亲眼目睹了日军残杀中国平民的暴行后,他却一心只想逃回家乡。在回乡的路上,海生遇到宁毓(颜丹晨 饰)等四个女孩 。迫于无奈,海生答应送她们去已被占领的南京城。一路上,海生不仅要保护着宁毓四人,还要躲避特别纵队队长山本一郎的追杀,最后,四个女孩中只有有着日本血统的樱子活了下来。当樱子也看清了日本军人的真实面目后,海生决定奋力掩护樱子突出日军的重围……
回复 :法兰克是一个年轻而富有理想的警察,他从巡警开始做起,后来成为卧底警察,虽然他的破案率很高,但他不愿意象其他警察那样收受贿赂,这使他显得和其他人格格不入。这种做法也使他身陷危机,因为他的同事们都与他为敌,且不时地陷害他。当检察组开始调查警局内部的贪污内幕时,他又出面作证,因此更陷入危险之中……
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :夜深人静,万籁俱寂。在美国西部的农场中央,孤零零伫立着一所房子。房子的男主人正沉浸在甜甜的梦乡之中,殊不知危险渐渐逼近。一道极强的亮光从窗口照了进来,男人随着亮光开始上下起伏。原来一家飞碟正停在上空,准备对其进行绑架。不过,绑架的实施者是一个初出茅庐的外星人,这次绑架对他来说只是一次资格考试,身旁有一个面无表情且十分严厉的考官评分记录。面对2000个密密麻麻的按钮,这个学艺不精的小外星人手忙脚乱……本片为皮克斯工作室第13部短片,是动画长片《料理鼠王》的加映短片。并获得2007年第79届奥斯卡最佳动画短片的提名。