电影一区二区
地区:美国
  类型:动物
  时间:2025-07-16 13:03:18
剧情简介

通过采访39位和沟口健二一起工作过的演员,电影工作人员,朋友等,描绘沟口一生的长篇纪录片。

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明星主演
段千寻
大规模进攻乐队
周华健
最新评论(529+)

林晓培

发表于3分钟前

回复 :舞台剧女演员伊丽莎白(丽芙·乌曼 Liv Ullmann 饰)在一次演出中忘了台词,之后长达数月她拒绝说话,被送进精神病医院。照顾她的护士阿尔玛(毕比·安德森 Bibi Andersson 饰)被医生责怪没有尽职,医院安排她带伊丽莎白在一所海滨别墅疗养治病。两人到达别墅后,伊丽莎白有所好转,但还是拒绝说话和给予回应。阿尔玛经常对她说话试图打破沉默,但仍旧得不到任何回应,最后不得不倾诉起她与未婚夫之间的情感问题。阿尔玛偷看了伊丽莎白写给医生的信,发现她在信里谈论自己,于是愤怒地叱责伊丽莎白。面对彻底沉默的伊丽莎白,阿尔玛在狂怒中几乎将她杀死。受惊的伊丽莎白惊恐地呼喊出“不!”,这让阿尔玛以为自己治好了她的病。可是伊丽莎白再次拒绝发出声音,她让阿尔玛成为自己的替身,与自己的丈夫做爱,照顾自己的孩子。阿尔玛在与伊丽莎白的过程中渐渐失去了自我的身份,悄然变成伊丽莎白的另一半。


几米

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


陈少云

发表于2分钟前

回复 :小黄鸭大电影《妈妈咪鸭》讲述了雁群往南方迁徙的途中,“最棒飞行家”大鹏桀骜不驯爱捣乱,和他的女友晶晶调情时不慎撞散了一群赶路的小鸭子。不服管教的大鹏决定单飞,不得已和两只落单的小鸭子淘淘、憇憇组成了“临时父子档”,踏上了一路乌龙的寻亲和南迁之旅。他们经历了一连串惊险、刺激又有趣的冒险。划过壮美的梯田,爬过冷峻的山脉,遇上好心收留他们的母鸡和妻管严公鸡、搭乘春运卡车的猪群、半瓶子中医技能的松鼠。路途中要时刻抵御想吃掉他们的恶猫,还险些成为“盘中烤鸭”。大鹏与淘淘姐弟两的命运紧紧关联,孤傲的大鹏也逐渐学会了责任与耐心。最后,焕然一新的大鹏得到了女友晶晶的原谅,和两只小鸭子组成了爱意满满的小家庭。


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