这是一部纪录性艺术影片,小尾讲述了井上光晴从他在自己创办的文学讲习所演讲《关系与变革》开始到1992年5月死去为止,小尾他与文学讲习所学生的交流,以及与癌症作斗争的经过。井上光晴死后,电影进入他演讲的《虚构与现实》部分。用黑白的印象镜头与真实的纪录镜头穿插的方式将井上的发言与作品等表现在银幕上,构成了“虚构与现实"共存的文学家的完整形象。井上的全身就是一部极为精彩的文学作品。演员井上光晴、深田匡哉、杉山裕哉分别饰井上光晴的老年、少年及幼年。导演原一男在第十八届山路振富子奖特别奖。
这是一部纪录性艺术影片,小尾讲述了井上光晴从他在自己创办的文学讲习所演讲《关系与变革》开始到1992年5月死去为止,小尾他与文学讲习所学生的交流,以及与癌症作斗争的经过。井上光晴死后,电影进入他演讲的《虚构与现实》部分。用黑白的印象镜头与真实的纪录镜头穿插的方式将井上的发言与作品等表现在银幕上,构成了“虚构与现实"共存的文学家的完整形象。井上的全身就是一部极为精彩的文学作品。演员井上光晴、深田匡哉、杉山裕哉分别饰井上光晴的老年、少年及幼年。导演原一男在第十八届山路振富子奖特别奖。
回复 :In the Australian outback, a park ranger and two local guides set out to track down a giant crocodile that has been killing and eating the local populace. During the hunt, one of the guides discovers that he has an ESP connection to the giant creature.
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :姜喜宝(郭采洁 饰)出生在一个贫困的家庭之中,从小到大她吃尽了贫穷的苦头,对于金钱有着格外强烈的渴望。一次偶然中,姜喜宝在飞机上结识了名为勖聪慧(李彦漫 饰)的女孩,并且得知勖聪慧是衔着金汤匙出生的千金小姐。聊得格外投机的两人很快就成为了好朋友。通过勖聪慧,姜喜宝和她的父亲勖存姿(张国柱 饰)相识了。勖聪慧本想撮合喜宝和自己的哥哥勖聪恕(曹恩齐 饰),哪知道喜宝身上散发出来的魅力竟深深吸引了勖存姿。抵挡不住勖存姿的金钱攻势,喜宝沦陷成为了他的情妇。虽然经济上得到了极大的满足,但喜宝很快就再度被灵魂的空虚所吞噬。